With a new album aiming more towards the man than the character whom is Manson, we could expect a much less spectacular concert and especially a public who would not answer present. Nevertheless it is in number that the crowd it is suited the room of the Top of Lille to see the famous Reverend. The whole did not like more than a curtain, did not more remain than to wait that this one falls...
Although already tangible before the first notes of the concert, the wait(expectation) aroused by the fans were for his(her,its) peak during the intro which once arrived at its end finally dropped the long veil which crossed(went through) the scene(stage). It is with " Cruci-fiction in Strange " that the set will thus begin, a song which marks, by its words, the evolution that in been able to take the group and especially Marilyn Manson as much at the level person with a strong visual sense as sound. Be that as it may the title makes following move the room. In a total fog, Manson is decked out by laser at the end of fingers to clock(point,stick) in its envy(urge) the public. At the end of song, enchainement direct on "Disposable Teens", explosion of the room, the fans are in the seventh heaven.
The sound is really very good and it is for our biggest pleasure that the voice(vote) of the famous singer follows the movement.
Arrived finally of a song of the new album taken(brought) out last May. That to say about other one than that looks like everything so as Manson and that after all linger would be there a waste of time. The man overrides the animal, a kind of exorcism of Manson outside Brian Warner's body... "The Love Song" thus arrives as a blessing and puts back(hands) clocks(pendulums) at the hour, but it's nothing next to the piece "Irresponsible Hate Anthem", the room intones with the singer " We hate coils, we coil hate " before the massacre arrives, a song which takes the breath away, which puts the room without top-bottom and which leaves actually no respite.
But the enjoyment is short-term, return of titles(securities) stemming from last 2 albums with songs " Oven Rusted Horses and Devour " which(who) do not simply work in concert, people stays without movement, without any reaction and partisan of a wait-and-see policy. Choices more than bizarre but which(who) shows us good that the man to change.
The continuation(suite) will be only a frustration with Manson which takes a guitar on him and lets believe as for a " AntiChrist Superstar " that everybody waits, but no, we shall have on the place(square) " Dried Up, Tied And Dead To The World ", a very good title but which does not reach(affect) the work city(estate) previously. Nevertheless the room moves, surprise, well enough. The arrival of the combo Coma White / coma Black is magic and allows all to settle(arise) a little, to get his breath back(her breath back) before the last part(party) of the concert.
For last time in the evening Marilyn Manson returns on one of his new titles(securities), "We' re from America", nothing to say, poignant just man. The continuation(suite) will be more interesting with songs " The Dope Show and Rock is Dead ". Before beginning the first one(night), a kind of sketch will be improvised or we can hear(understand) Manson to say that the man in his(her,its) side in sodomized a dog to conclude that drugs it is bad, bizarre finally, the pieces are just(right) enormous and make a public move who will not rest(base) any more at the single moment till the end of the show.
As usual, "Sweet Dreams" will be good of the part(party) and will let the public intone the tune in a total frenzy, the song which you should not flunk so much this one is known, accomplished mission. No injury time, Marilyn Manson enchaine following on "Rock'n'Roll Nigger", a resumption of Patti Smith which moves of the thunder. The public, although a little sounded by this raw(gross) enchainement, jumps everywhere and is allowed go without thinking(reflecting). The last piece of the evening, "Beautiful People" arrives finally. The title which could not be present in set-list. The song is terrible, the end of the concert is a highlight. Marilyn Manson supplants everybody, an enormous just song.
We thus left the concert and he(it) not remain in us more than to look with a little more recession(drop) at the moment which we had just crossed(spent). The show was good, to see very well even. Marilyn Manson will rather have been generous with his public and will have made everything so that this concert is a show(entertainment). Nevertheless we cannot remove(kidnap) of our heads that titles(securities) have not at all their place(square) in set-list and that the inevitable AntiChrist Superstar was not present.
Also let us note the other members almost totally static. After all, what we had just seen could amount to a single sentence: " This is the year Evolution, Brian Warner, Marilyn Manson and the Man ".
Avec un nouvel album tendant plus vers l'homme que le personnage qu'est Manson, nous pouvions nous attendre à un concert bien moins spectaculaire et surtout à un public qui ne répondrait pas présent. Pourtant c'est en nombre que la foule c'est appropriée la salle du Zénith de Lille pour voir le célèbre Révérend. Le tout ne tenait plus qu'à un rideau, ne restait plus qu'à attendre que celui-ci tombe...
Bien que déjà palpable avant les premières notes du concert, l'attente suscitée par les fans étaient à son apogée lors de l'intro qui une fois arrivée à sa fin laissait enfin tomber le long voile qui parcourait la scène. C'est avec "Cruci-fiction in Space" que le set débutera donc, une chanson qui marque, par ses paroles, l'évolution qu'à pu prendre le groupe et surtout Marilyn Manson autant au niveau visuelle que sonore. Quoi qu'il en soit le titre fait de suite bouger la salle. Dans un brouillard total, Manson est affublé de laser au bout des doigts pour pointer à son envie le public. Fin de chanson, enchainement directe sur "Disposable Teens", explosion de la salle, les fans sont aux anges. Le son est vraiment très bon et c'est pour notre plus grand plaisir que la voix du célèbre chanteur suit le mouvement.
Arrivait enfin d'une chanson du nouvel album sorti en mai dernier.
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Que dire d'autre que ça ressemble à tout sauf à du Manson et qu'en fin de compte s'y attarder serait une perte de temps. L'homme prend le pas sur la bête, une sorte d'exorcisme de Manson hors du corps de Brian Warner... "The Love Song" arrive donc comme une bénédiction et remet les pendules à l'heure, mais ce n'est rien à côté du morceau "Irresponsible Hate Anthem", la salle entonne avec le chanteur "We hate love, we love hate" avant que le massacre n'arrive, une chanson qui coupe le souffle, qui met la salle sans dessus-dessous et qui ne laisse à vrai dire aucun répit.
Mais la joie est de courte durée, retour de titres issus des 2 derniers albums avec les chansons "Four Rusted Horses et Devour" qui ne fonctionnent tout simplement pas en concert, les gens reste sans mouvement, sans aucune réaction et attentiste. Des choix plus que bizarre mais qui nous montre bien que l'homme à changer. La suite ne sera qu'une frustration avec un Manson qui prend une guitare sur lui et laisse croire quant à un "Antichrist Superstar" que tout le monde attend, mais non, nous aurons à la place "Dried Up, Tied And Dead To The World", un titre très bon mais qui n'atteint pas l'oeuvre cité auparavant. Néanmoins la salle bouge, étonnement, assez bien. L'arrivée du combo Coma White/Coma Black est magique et permet à tous de se poser un peu, de reprendre son souffle avant la dernière partie du concert.
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Pour une dernière fois dans la soirée Marilyn Manson revient sur l'un de ses nouveaux titres, "We're from America", rien à dire, juste pathétique. La suite sera bien plus intéressante avec les chansons "The Dope Show et Rock is Dead". Avant de commencer la première, une sorte de sketch sera improvisé ou l'on peut entendre un Manson dire que l'homme à ses côté à sodomisé un chien pour conclure que les drogues c'est mal, bizarre... enfin, les morceaux sont justes énormes et font bouger un public qui ne se reposera plus à un seul moment jusqu'à la fin du show.
Comme à son habitude, "Sweet Dreams" sera bien de la partie et laissera le public entonner le refrain dans un délire total, la chanson qu'il ne fallait pas foirer tant celle-ci est connue, mission accomplie. Pas de temps mort, Marilyn Manson enchaine de suite sur "Rock'n'Roll Nigger", une reprise de Patti Smith qui déménage du tonnerre. L'auditoire, bien qu'un peu sonné par cet enchainement brut, saute dans tous les sens et se laisse aller sans réfléchir. Arrive enfin le dernier morceau de la soirée, "Beautiful People". Le titre qui ne pouvait pas être présent dans la set-list. La chanson est terrible, la fin du concert est une apothéose. Marilyn Manson supplante tout le monde, une chanson juste énorme.
Nous repartions donc du concert et il ne nous rester plus qu'à regarder avec un peu plus de recul le moment que nous venions de passer.
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Le show était bon, voir très bon même. Marilyn Manson aura plutôt été généreux avec son public et aura tout fait pour que ce concert soit un spectacle. Néanmoins nous ne pourrons enlever de nos têtes que des titres n'ont aucunement leur place dans la set-list et que l'inévitable Antichrist Superstar n'était pas présent. Notons aussi les autres membres presque totalement statique. En fin de compte, ce que nous venions de voir pourrait se résumer à une seule phrase : "This is an Evolution, Brian Warner, Marilyn Manson and the Man".
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Chronique de : Cédric Lefort
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Mais n'en rajoutons pas... laissons donc ces grosses machines commerciales se tirer eux-même une balle dans le pied !!! 
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