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Discover their latest album! It emanates from 6 ½, the new album Innocents, a feeling of letting go. Jean-Christophe Urbain and J.P. Nataf each take their place. A balance nourished by the sweet energy of their history. 6 ½, an album assumed. Since Mandarine and the Victories´ award in 2015, the fourth in their career, the tour has been long and beautiful. Two years, more than one hundred and fifty dates, new destinations. Always a suitcase in the hallway. The Innocents discover the scene together, and find themselves there, after a long pause. And like a boomerang, an audience at the rendezvous from the first notes of the old hits. So, they break the locks of the unknown, tune their guitars, make their novelties heard and let themselves go with simplicity, to the pleasure of the scene. Together there is magic to surprise yourself, to create something unique. Harmonies that look like them, the pop music they have always loved. The ride has no end, each album has the ambition to do better than the previous one. Mandarin was born covered in a long knitted coat, as if to protect himself from the weather.
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 For 6 ½, the Innocents, freed from the pressure of the comeback, opened the windows of their reunion room. Towards an exterior with summer scents. Their fuel: these messy dreams they share. This ever greater desire to offer beautiful songs, those that mark the crowds, those that color their journey for three decades. Accompanied by Dominique Ledudal, director, friend and accomplice, they left their daily, their Paris XXth. Three studious weeks within the walls of the legendary ICP studio in Brussels, thirty years after having recorded their first album there. This time, because the method is often different from one disc to another, Jean-Chri and J.P. each arrived with titles, or personal sketches. Dominique, essential presence, helps them to choose, to give a tone to this new album, to link music and characters. An open-hearted duo, ambush texts under chords and melodies. Jean-Christophe Urbain reveals himself, as shameless as his modesty admits. And tells the renewed pleasure that he took to write, to "do", to savor this chance to create. J.P. Nataf surfs on a released energy, always drowns in too full of ideas, lets the urgency choose against the requirement to do "good".
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Happy, just happy to realize the dream of his 15th birthday. Live on music. And share emotions. "Prune the plain in Apache" and escape the phantom of love that obsesses a whole life and rhythm. Also share crazy desires, "savor in the Waterfalls, kisses, light love pipes." Live music to convert memories: Opal, or the reminiscence of this attractive place where we always come back to agree, relax. My Man, talk about the absent father and this legacy diluted in everyday life today. Memories as we embark to the Amnesian Islands or accompany the "redoux" of an old Slow # 1. A sixth and a half album. Raw materials. You can imagine it playing in a family house bathed in light, with old solid parquet, scratched by time. An album carried by his precedents, with four instrumental hands, of a double artistic feather. The Innos for real, intimate and coherent, and, in pretty perspective, ten songs to hum. Charlotte Boutte
Rédac : Collectif Scènes du Nord
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Découvrez leur dernier album !
Il émane de 6 ½, le nouvel album des Innocents, un sentiment de lâcher-prise. Jean-Christophe Urbain et J.P. Nataf prennent chacun leur place. Un équilibre nourri par la douce énergie de leur histoire. 6 ½, un album assumé.
Depuis Mandarine et la récompense des Victoires en 2015, la quatrième de leur carrière, la tournée a été longue et belle. Deux ans, plus de cent cinquante dates, des destinations nouvelles. Toujours une valise dans le couloir. Les Innocents découvrent la scène à deux, et s`y retrouvent, après une longue pause. Et comme un boomerang, un public au rendez-vous dès les premières notes des anciens tubes. Alors, ils brisent les verrous de l`inconnu, accordent leurs guitares, font entendre leurs nouveautés et se laissent aller avec simplicité, au plaisir de la scène.
Ensemble, il y a de la magie à se surprendre, à créer quelque chose d`unique. Des harmonies qui leur ressemblent, la pop musique qu`ils aiment depuis toujours. La balade n`a pas de fin, chaque album a l`ambition de faire mieux que le précédent. Mandarine était né couvert d`un manteau longuement tricoté, comme pour se protéger des intempéries. Pour 6 ½, les Innocents, libérés de la pression du come-back, ont ouvert les fenêtres de la chambre de leurs retrouvailles.
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Vers un extérieur aux parfums d`été.
Leur carburant : ces rêves en pagaille qu`ils partagent. Cette envie toujours plus grande d`offrir de belles chansons, celles qui marquent les foules, celles qui colorent leur parcours depuis trois décennies. Accompagnés de Dominique Ledudal, réalisateur, ami et complice, ils ont quitté leur quotidien, leur Paris XXème. Trois semaines studieuses entre les murs du mythique studio ICP à Bruxelles, trente ans après y avoir enregistré leur premier album. Cette fois ci, car la méthode est souvent différente d`un disque à l`autre, Jean-Chri et J.P. sont arrivés chacun avec des titres, ou des esquisses personnelles. Dominique, indispensable présence, les aide à choisir, à donner un ton à ce nouvel album, à lier la musique et les caractères.
Un duo à cœur ouvert, des textes embusqués sous les accords et les mélodies. Jean-Christophe Urbain se dévoile, aussi impudique que sa pudeur l`admette. Et raconte ce plaisir renouvelé qu`il a pris à écrire, à " faire ", à savourer cette chance de créer. J.P. Nataf surfe sur une énergie libérée, se noie toujours dans un trop plein d`idées, laisse l`urgence choisir contre l`exigence de faire " bien ". Heureux, simplement heureux de réaliser le rêve de ses 15 ans.
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Vivre de musique.
Et partager des émotions. " Tailler la plaine en Apache " et échapper au fantôme de l`amour qui obsède toute une vie et en rythme la cadence. Partager aussi de folles envies, " savourer dans les Cascades, des baisers, des calumets d`amour light". Vivre de musique pour convertir des souvenirs : Opale, ou la réminiscence de ce lieu attractif où l`on revient toujours s`accorder, se ressourcer. Mon Homme, parle du père absent et de cet héritage dilué au quotidien de l`instant. Des souvenirs aussi qu`on embarque vers les Iles d`Amnésie ou qui accompagnent " le redoux " d`un vieux Slow #1.
Un sixième album et demi . Brut de matières premières. On l`imagine joué dans une maison de famille baignée de lumière, au vieux parquet solide, égratigné par le temps. Un album porté par ses précédents, fort de quatre mains instrumentales, d`une double plume artistique.
Les Innos pour de vrai, intimes et cohérents, et, en jolie perspective, dix titres à fredonner.
Charlotte Boutte
Source: Facebook
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Chronique de : Collectif Scènes du Nord
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